Nom :

Prénom :

Age : 20 ans ½

Age de mort humaine : 20 ans

Classe : Lycan

Pouvoir : Aérokinésie

Dissident ou soumis : Personne pour le moment

Caractère :
Il s’agit d’une jeune fille spontanée, instinctive et têtue. D’une grande curiosité, elle s’intéresse à tous les domaines, et souhaite toujours en apprendre plus. Bien souvent rêveuse, elle sait être dynamique en temps voulu. Son don du vent lui va comme un gant, vu que comme lui, elle est aussi imprévisible ! L’assassinat de sa famille, entre autre… a profondément marqué Aria. Et malgré l’apparence guérie de cette jeune blessure, sa détresse transparaît encore largement dans son regard émeraude. Sans aucune attache, elle est devenue assez solitaire. Cependant, elle est en perpétuelle demande de reconnaissance. Et ce même si ses agissements ont bien souvent lieu dans l’ombre, en toute discrétion.

Physique :
Aria est une jeune fille svelte, quoiqu’un peu trop maigre à cause de son voyage. Son teint, contrairement à sa région d’origine est assez pâle. Elle possède une chevelure mi-longue, aussi noire qu’une nuit sans lune. La particularité de ses cheveux est qu’ils sont tout aussi indomptables que son caractère : impossible de les coiffer correctement malgré leur aspect lisse. Son visage ovale est souligné par des yeux vert foncés. Sa démarche, bien que souvent hésitante, permet d’entrevoir une agilité, vivacité d’une origine non-lycante. En effet en tant que « ex-voleuse » ces capacités lui furent souvent requises pour exécuter quelques uns de ses coups. Le fait d’être devenu une lycante n’a fait alors qu’amplifier ce don. C’est l’un des points positifs qu’Aria trouve dans sa transformation.

Histoire :
Je suis d’origine française, j’habitais sur la côte méditerranéenne, nichée dans un petit village Alpin à proximité de l’Italie. J’y vivais avec ma famille, dans une maison quelque peu éloignée du village.
Ma famille était pauvre. Mon père ayant disparu, c’est ma mère qui nous éleva seule : ma grande soeur, mon petit frère et moi. En tant que seconde de la fratrie, je me devais d’aider ma mère tant que possible. Ma grande sœur l’aidait pour les tâches ménagères accompagnées de mon petit frère. Ma mère travaillait comme « ouvrière » pour une famille fermière du village. Mais aucunes de ces deux voies ne m’attirais. C’est pourquoi de part ma nature curieuse et mon assez bonne habilité, j’entrepris la voie de l’ombre à treize ans : celle du vol. Au début je ne volais que des petites choses dans la rue que je revendais par la suite. Mais j’y pris vite goût.
En effet, en plus d’être un moyen facile de gagner de l’argent, je prenais cela comme un jeu où habilité et discrétion était mes meilleurs alliés. Je me mis alors à convoiter des objets de plus en plus précieux, ce qui m’amena à pénétrer les chaumières…Chose qui me value une rencontre qui bouleversa ma vie.
C’est lors de ma dernière intrusion que je rencontrais mon « père ». Cet homme âgé (entre quarante et cinquante ans) me surpris en plein acte. Il ne s’opposa même pas à mon vol. Au contraire, il m’offrit à manger, du gibier pour ma famille, puis me laissa m’en aller. Son attitude m’intrigua. Alors j’y retournai le lendemain, puis le surlendemain et cela pendant bien un an. Lors de ces rencontres nocturnes, cet homme m’offrait bien plus que de la nourriture : il me faisait part de ses connaissances, à moi simple fille de paysanne ! Je pouvais l’écouter pendant des heures, c’était un grand pédagogue. Le temps passa, et moi naïve comme pas deux, je ne remarquai pas les indices…pourtant maintenant je les entrevois…je ne me doutais de rien. Ou plutôt, comment aurais-je pu le savoir ?! Moi qui pensais que ses histoires de loup étaient faite pour effrayer les enfants ! Comment aurais-je pu deviner que cela allez se passer ?!
Puis ce jour arriva, je n’arrive pas à m’en souvenir encore clairement. Je me rappelle juste que je suis entrée chez lui quand quelque chose ma littéralement bondit dessus. Il s’en suivi une douleur cinglante au niveau de mon épaule. Je me souviens ensuite d’être alitée dans une chambre qui n’était pas la mienne, éclairée par la pleine lune, soumis à une fièvre atroce.
Puis le trou noir…jusqu'à cette scène horrible qui me hante : je suis de retour chez moi, tout est silencieux, trop silencieux, il fait nuit, et devant moi jonche 3 cadavres. Je lève alors les yeux, et vois mon reflet dans le miroir de l’armoire : la bouche en sang, un regard sauvage rouge sang, la peau sombre !! Prise de panique, je sors de la maison en courant tremblante de toute part ! Et là, devant moi se trouve mon « père », du moins sa silhouette. Son apparence me semblait différente, plus jeune, mais surtout sauvage, presque animale. Mais le point le plus marquant fut son regard inexpressif. Un regard habité par les mêmes yeux rouges que j’avais vus dans le miroir. Je fus pétrifiée par cette vision, jusqu'à ce qu’il m’appelle.
Alors, comme hypnotisée je m’approchai de lui, tremblante et complètement perdue. Tout en m’approchant je m’apercevais que son visage était de moins en moins humain. Il mit alors sa main sur ma tête, approcha son visage du mien afin que nos regard se confondent, puis me dit doucement de me calmer…j’éclatai alors en sanglots et me collai contre lui. Je ne savais pas quoi faire, je sentais tout mon corps différemment. Quelque chose en moi avait changé, et je ne pouvais l’expliquer.
Il attendis que mes sanglots s’estompent un peu, et me dit ses mots que JAMAIS je n’oublierais : N’ai jamais honte de ce que tu est devenue. Ce soir ta nature s’est révélée mon enfant, j’ai fait de toi un être différent : un lycan, sois-en fière. Je n’ai qu’un conseil à te donner : reste libre comme le vent. Ton passé n’est plus maintenant, va de l’avant, ne te retourne plus.
Ces mots me parurent flous, abstraits. Mais tout commençait à prendre forme : les contes qu’il m’avait appris sur ces créatures aux dons exceptionnels, mais persécutés par les humains et autres êtres surnaturels, la lune, mon apparence…Tout concordait, il n’avait pas tord j’étais devenu un loup garou. Mais j’avais ASSASINE ma famille !! Il resserra alors son étreinte, comme comprenant mes pensées. Nous restâmes ainsi, pendant un certain temps. Jusqu'à que je lui demande pourquoi moi, pourquoi m’avoir offert cette vie ! Il me répondit : ce soir est ton anniversaire, je t’offre cette nouvelle vie. Je suis bien plus vieux que tu ne le penses, et mon temps est venu…. Tu n’es que ma troisième infante, depuis que j’ai étais séparé des miens à Venise, il y a de cela bien des lunes. Ne crois pas que se soit un cadeau empoisonné, quand tu sauras maîtriser ta transformation et ton pouvoir tout ira bien, crois moi. Mais d’ici là reste à l’écart, tant que tu ne te sentiras pas prête, l’essentiel est de contrôler sa transformation pour ne pas se faire repérer. Puis il commença à me raconter des contes de lycan, je m’endormis alors petit à petit.
Le lendemain matin, « père » avait disparu, je le cherchai pendant toute la journée, mais compris vite que jamais je ne le reverrais. Je pris alors ses conseils à la lettre. La première chose que j’entrepris fut de brûler ma maison, et mon ex-famille. Pour ainsi finir le deuil. Puis cachée dans les montagnes je m’entraîna à maîtriser ma lycanthropie, et l’aérokinésie dont j’avais hérité. J’y arrivais plutôt bien !
Mis à part les soirs de pleine lune, où là j’avais de grosses difficultés à me contrôler. Je compris vite que cela dépendait de mes émotions, mais le plus souvent c’était à cause de mon ventre vide. Je découvrais ainsi petit à petit les avantages de ceux de ma race. Mais au bout de trois ou quatre mois, la solitude me gagna, l’envie de rencontrer d’autres lycans me dévorait. Me rappelant la ville d’origine de mon « père », je décidai alors de me rendre à Venise. Sachant qu’il s’agissait d’une ville commerçante située de l’autre coté de l’Italie je décidai de m’embarquer dans un bateau en sa destination.
C’est ainsi que je quittai mes montagnes natales pour partir vers la côte, en espérant y trouver un port. Maintenant que je contrôlais quelque peu ma transformation je ne risquais pas grand-chose entourée d’humains. La recherche du bateau fut assez aisée, au vu de la popularité commerciale de Venise. Mais n’ayant aucun argent, j’embarquai alors clandestinement sur un bateau en jouant de ma discrétion.
C’est ainsi que j’atterris à Venise, en terre inconnue. Cependant, pendant la traversé lors d’un soir de peine lune, un petit problème technique survenu…affamée par le manque de nourriture, je perdis le contrôle, et massacrai l’ensemble de l’équipage, pour n’en dévorer que quelques uns…Le soucis est que je n’arrivais pas à ressentir du remord, ou de tristesse pour cette acte normalement horrible !! Je percevais les humains, non plus comme des hommes, mais comme des menaces, des proies/prédatrices. Ce qui m’inquiétai de plus en plus. Mais cette petite boulette, failli m’attirer beaucoup d’ennuis lors de mon accostage à Venise, le lendemain…

Autre :
Particularités : Malgré sa silhouette fine, presque maigrelette, Aria est capable de manger un bœuf a elle toute seule. Bon, façon de parler bien sur, mais bien que capable de ce rassasier de peu, si beaucoup de nourriture s’offre à elle, elle en profitera un maximum ^^
Aria a une tendance claustrophobe quand elle est enfermée dans le noir.
Elle est bilingue français/italien, mais un léger accent trahis aisément son origine française.

Euh, merci pour les précisions, j'avais un peu zapé cette condition.
je ferai attention! :P

et pour l'avatar, je vais arranger cela!