Nom : De Thiard
Prénom : Audran
Âge : (900 ans maximum, sauf pour le Chef de meute) 100
Âge de mort Humaine : 25
Classe : Pouvoir(s) : Animalisme
Dissident ou soumis ? Dissident
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Caractère (7 lignes minimum)
:On pourrait croire qu'Audran est le fruit des légendes sur les garous. C'est une personne enragée dont la fureur et la haine sont le principal moteur. Il est difficile de l'émouvoir, on le qualifierais plutôt de coeur de pierre.
Audran est un solitaire convaincu, très peu lié avec les siens sauf par la force des choses. Toutefois, quand on l'approche, on s'apercoit si il est d'humeur a communiquer qu'il possède une bonne intelligence servie par une certaine éducation. Toutefois il ne faut pas compter sur la diplomatie, au contraire. Il se fait un plaisir de dire la verité la plus crument possible.
Et si vous vous emportez, vous recolterez un regard dédaigneux de cet homme au nerfs d'acier.
Néanmoins, sous ces dehors austères et brutaux, Audran possède une loyauté sans faille vis a vis de ses principes... Ce qui n'est pas forcement un bien quand ceux ci en font votre ennemi, car sa ténacité n'a d'égale que sa loyauté. Quelques rares élus qui l'auront surpris lors d'une de ses nombreuses réflexions en solitaires pourrons parfois deviner dans son regard une ombre nostalgique teintée d'une douloureuse tendresse.
Physique (7 lignes minimum)
:Audran possède une haute silhouette musculeuse sans pour autant être lourde.
Il est vêtu assez simplement la plupart du temps, préférant la praticité à l'esthétisme. On peut facilement le prendre pour un garde chasse si ce n'est un port droit et fier qui est le propre de ceux qui ont eu à gouverner ou qui sont issus de familles privilégiées.
Son pas est sûr, l'ambre de son regard d'une franchise implacable et aussi dur que le meilleur acier de Tolède.
Il porte souvent une cape dont le capuchon est résolument rabattu, principalement pour cacher sa longue chevelure argentée qui entre autre déboires, attire de trop les regards, surtout en contraste avec sa peau mate.
Il possède un assez beau visage, un nez aquilin, une bouche au lèvres pleines qui ne se teinte que très rarement d'un sourire, bien plus souvent de défi que de joie. Mais malgré la noblesse de ses traits, les manières qu'il mesure, reste principalement à son interlocuteur le sentiment confus d'un animal sauvage sous ses dehors humain.
Histoire (14 lignes minimum)
:Audran est né dans la petite noblesse française du sud est de la france. Une famille qui n'avait certes rien d'illustre mais dirigeait son domaine sous la ferme houlette de Thibault de Thiard. L'homme n'était pas enclin à la charité et si ses gens se portaient bien, ce n'etait que parce qu'il avait compris qu'il était plus bénéfique pour son petit pouvoir et l'économie du domaine de ne pas affamer les pauvres. Tel était le père d'Audran, un homme dont le coeur n'était que pragmatisme au service, il faut l'avouer, d'une ambition non négligeable. Les De Thiard avaient eu leur de gloire il y a bien longtemps et Thibault ne doutait pas qu'en esprit avisé, il puisse conclure les alliances necessaires pour redorer son blason. Il avait d'ailleurs grace à quelques dettes qu'avait contracté un illustre non loin, un projet de reuinion des deux familles qui lui ouvrirait des portes bien interressantes.
Tout ce se serait fort bien passé si sa "chère" femme, qui n'avait décidement d'autre utilité que la dot dont son père l'avait pourvu, n'avait mis au monde l'heritier le plus répugnant devant les cieux. L'enfant etait né avec un leger casque grisonnant, qui ne changea que pour revetir l'argent du disque lunaire. Simple tare génétique, mais ceci, Thibault de Thiard ne pouvait le savoir et l'enfant fût vite affublé de toutes les superstitions que l'esprit humain peut imaginer.
Audran vecu donc enfermé dans l'enceinte du domaine, ne devant une certaine liberté qu'a la lutte acharnée de sa mère envers son père. La tete rasée quotidiennement, ayant vite appris pour le bien de son integrité physique a rester discret, l'enfant grandit dans la solitude la plus absolue.
Il trouvait réconfort dans les livres et dans l'escrime, seul luxe qui lui était autorisé pour avoir un semblant de vie.
Il approchait de sa quinzième année quant à la tombée de la nuit, il s'échappa pouir la première fois. Il parti, seul dans les bois, désireux de gouter un peu de cette liberté que même les serviteurs connaissaient mieux que lui.
Ce fut là qu'il la rencontra.
Elle était splendide, une longue chevelure d'ébène retombant en une cascade de boucle, encadrant un visage en forme de coeur ou brillaient deux emeraudes. Il la pris d'abord pour une fée qui peuple les legendes, dansant pieds nus avec un loup qui jappait comme un jeune chiot.
Il ne saurait dire lequel des deux l'avait sentit en premier. Audran pris ses jambes à son cou, peu desireux de suivre le destin funeste des curieux qui s'approchent des créatures fééeriques.
Mais elel l'avait comme ensorcelé. Il ne cessa d'y songer. Et une nuit n'y tenant plus, il finit par revenir sur ses pas. Elle était là. Elle le regarda avec une certaine curiosité avant de prononcer quelques mots chantants.
Regina... Il y eu bien des nuits ou il la rejoint. Son amie. La seule qu'il ai jamais eu. Les années passères et si elle s'eclipsait à intervalles réguliers, elle finissait toujours par revenir.
Elle refusait qu'il l'amène, preférant la solitude des bois et la compagnie de son ami a quatre pattes. Elle le comprenait, le poid de la prison sans laquelle Thibault l'enfermait, ce sentiment ne pas exister ... Elle comprenanit si bien. Mais jamais elle ne parlait d'elle. Il sentait un gouffre infranchissable entre eux malgré qu'elle l'ai visiblement accepté. Et quand il se faisait trop pressant, elle lui repondait d'un ton si brutal, comme si il s'etait amusé du sel sur une plaie a vif. Alors il evitait, acceptait juste ce qu'elle voulait bien lui donner. Regina, elle venait d'une ville loiintaine... Elle fuyait, elle se cachait cela se voyait. Mais il ne savais pas qui.
Il approchait de ses vingt cinq ans quand il l'appris.
Il pensais rejoindre sa fée des bois... Ce fut une reine de glace qui l'accueillie. Aussi belle que peut l'être la mort parée de ses plus beaux atours. Son instinct lui cria de fuir, mais une forme sombre au pied de l'inconnue le cloua sur place. Un monstre sortit tout droit de n'importe quel cauchemar. La bête semblait agonisante... La souffrance dans son regard... Son regard !
Regina... Sa belle et chère Regina, enchainée et ensanglantée. Malgré son cri de desespoir il fonça sur la femme qui eclata d'un rire strident. Cette nuit, Audran appris que les contes n'étaient pas que des fantome destiné a peupler les nuits des enfants.
La vampire se régala de ce jouet impromptu, ajoutant aux plaies de sa victime la douleur du rafinement de torture qu'elle faisait subir à l'insecte innoportun. Elle tirait du regard désespéré de la louve, de sa rage impuissante un plaisir sans égal. Le jeu aurait pu durer une éternité. *
Un grondement de plusieurs voix a l'unisson l'interrompi. Repondant à l'appel silencieux, une meute sauvage se jeta sur les chasseurs devenus gibiers. Le combat fit rage mais Audran n'en avait plus conscience. Il s'accrochait au lambeaux de vie qu'il lui restait... Desireux de voir au moins une dernière fois son visage.
Une douleur parmi tant d'autres... Une morsure... Un cri qui finit dans un gargouilli ensanglanté...
Les gens du chateau le retrouvèrent entre la vie et la mort. Ce qui arrangeait certes bien Thibault. Malheureusement pour lui, après des jours et des jours de souffrances, Audran finit par se remettre. L'aventure semblait l'avoir choqué...
Il ecoutait d'une oreille distraite les brouhara venant des quartiers de son fils, meditant le montant des prochains impots et leur emploi, observant la particulière beauté du disque lunaire.
Une porte fracassée... Un corps déchiqueté... Ce fûrent les ultimes chose qu'Audran laissa derrière lui avant de s'enfoncer dans les bois.
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Autre(s) :Si possible, j'aimerais qu'Audran possède une épée à deux mains (pas forcement pour l'utiliser mais simplement pour coller à l'avatar).
But d'Audran : La vengeance, la haine des vampires... Il pris donc la route de l'Italie que sa belle Regina avait fui pour se soustraire a l'esclavage.
Comment avez-vous connu le forum :Livio qui m'en parle depuis bien longtemps, tellement que j'ai l'impression d'en connaitre certains ^^
Heu... et si jamais je suis validée, je refuse complètement de donner le moindre point a cette peste de vampire :p
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posté le Jeu 14 Mai 2009, 18:24
