Cassiopea RicordiEn attente d'un titre...
Caractéristiques Puissance: (200/2000) Relations: Pouvoirs:
| posté le Mer 26 Oct 2011, 21:02 | |
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Nom : Ricordi Prénom : Cassiopea Âge : 50 ans Âge de mort humaine : 20 ans Créateur : Alessandro Pouvoirs : Télékinésie (peu controlé) Classe : Aucune
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CARACTÈRE Caractère
Cassiopea est un complexe de personnalité qui s’entrechoque. Sans pour autant être bipolaire, elle est d’une nature qu’on pourrait qualifiée d’instable. N’ayant jamais totalement accepté sa condition vampirique, elle continue à avoir de forte émotion comme les humains. D’un naturel passionné et se laissant facilement emporté par ses émotions, la demoiselle n’hésite pas à outre passé sa condition de femme pour exprimer son opinion. Curieuse innée, elle s’instruit malgré les dogmes de l’époque passant sous l’innocence des recherches pointilleuse et affinée. Ce caractère enflammé fait d’elle une créature imprévisible. Elle n’a pas encore assimilé le principe de l’immortalité et il n’est pas rare de la voir courir comme si le temps lui manquait. Il lui arrive souvent de faire preuve d’impudence et d’impatience prenant un air hautain qui lui va très bien. Cassiopea est le genre de personne qu’on pourrait qualifiée d’associable. Solitaire dans l’âme, elle ne fait jamais confiance à personne. Mais il est impossible de fuir sa nature première. Il arrive très souvent que la jeune femme sombre dans des crises de colère, notamment lorsque la soif de sang devient trop forte. Sa nature vampirique reprenant le dessus, elle devient presque incontrôlable. N’ayant jamais accepté de tuer des humains pour survivre, la jeune femme attend toujours que l’envie soit insoutenable avant de sortir. Elle se met alors en quête de criminel qui sillonne les rues pour effectuer quelque basse besogne et les vides de leur sang. Toujours un petit esprit de justice dans ce bas monde. Curieusement, malgré qu’elle soit un vampire, Cassiopea est très sensible au pouvoir de fascination de ses confrères. De son créateur, elle à conserver le goût pour la beauté simple et la passion pour l’art et une profonde répulsion pour les lycans.
PHYSIQUE Physique
Cassiopea est avant tout une jeune femme vénitienne à quelque exception près. De taille moyenne, elle ne se démarque pas de ses consœurs par sa grandeur. Son corps, plutôt svelte, à des membres agiles, idéales pour l’escalade et l’intrusion dans des lieux interdit et difficile d’accès. La jeune Ricordi possède tous les charmes de la jeunesse. Son corps aux formes avenantes est bien formé et attrayant. Sa peau blanche comme de la neige est douce et froide. Cette couleur est contrastée par sa longue chevelure brune qui ondule doucement jusqu’au milieu de son dos. Mais ce qui attire le plus l’attention chez sa personne est la couleur particulière de ses yeux. D’un bleu pétillant voir presque électrifiant, il oscille entre le pale et le foncé allant selon son humeur. Lorsqu’elle est en colère, la couleur devient légèrement plus ombragée. La férocité de son regard n’enlève cependant rien à la délicatesse de ses traits. L’ensemble de sa personne dégage une aura douce et avenante comme chez tous les vampires. Le pouvoir de fascination qui se dégage d’elle fait tomber plus d’un mortel. Son poignet gauche est orné d’un tatouage étrange dont elle ne connaît pas la signification. D’un noir profond, il contraste énormément avec sa peau blanche. Il parait encore malgré sa transformation en vampire.
Étant l’une des filles d’un riche marchant de Venise, Cassiopea est toujours bien vêtue. Elle est souvent habillée d’étoffe précieuse et cher dont elle garde la simplicité en excluant toute fioriture inutile. Elle ne porte jamais de bijoux excepté un anneau à sa main droite et un pendentif avec une croix en or.
Cet aspect riche ne se retrouve pas dans les habits qu’elle porte pour aller chasser. Servant plus de costume et de vêtement utile, ils lui servent de déguisement pour passer inaperçus. Optant plutôt pour des vêtements pratiques, la jeune femme porte une chemise blanche et ample avec un corset noir, des pantalons noirs également et de belles bottes haute et souple, pratique pour l’escalade. Sur ses épaules une grande cape noire et sur son visage un magnifique masque vénitien pour l’aider à ne pas être repéré. Ainsi vêtue, elle passe souvent pour un homme.
HISTOIRE Histoire
À l’origine, la famille de Ricordi était une puissante famille patricienne de Florence. Les membres de la famille se spécialisaient dans toutes les sphères du monde possible que ce soit la politique, l’économie, la philosophie, l’art ou encore les sciences. Étant presqu’un petit état à elle seule, la famille établit diverses branches de sa famille dans les différentes cités état de l’époque soit: à Venise, Rome, Naples, Milan, Pise, Genève, Lyon, Avignon, Bruges et Londres.
C’est ainsi que Matteo et son épouse Lavigna vinrent s’installer dans la ville d’eau. Matteo était un scientifique à l’esprit frivole et dépassé. Il croyait dur comme fer à l’existence des êtres de la nuit. En effet, ses études et ses voyages lui avait permit de trouver des similitudes à travers de nombreux texte de conté et d’époque différentes pour en venir à la conclusion que des ses créatures existaient peut-être pour vrai. Ses longs cheveux blonds bouclés et ses yeux d’un vert pétillant de malice en faisaient un homme séduisant. Sa femme, un peu plus terre-à-terre, était libraire et tenait une petite boutique adjacente à leur somptueuse demeure. C’était une femme d’une très grande beauté. Ses cheveux étaient d’un blond si pâle que par les journées de soleil ils donnaient l’impression d’être blanc. Comme Lavigna ne pouvait enfanter, les deux époux se consolaient dans leurs études et leurs recherches. D’un naturel optimiste, les Ricordi ne se laissaient jamais abattre.
Ainsi, la vie leur sourit un soir de pleine lune tandis que le sieur de Ricordi traversait un petit ponceau pour rentré chez lui. Tandis qu’il s’affairait, marchant en en relisant les notes qu’il avait prises dans un petit cahier, un coup de vent fit voler ses feuilles. Tandis qu’il s’affairait à tout ramasser, un petit babillement reteint son attention. Écoutant plus attentivement, il entendit de nouveau le bruit d’un enfant qui se parlait en petit bruit enfantin. Matteo se pencha par-dessus le ponceau et aperçut dans une gondole un enfant, d’environ deux ans couchés sur le dos qui observait le ciel. Lorsqu’elle l’aperçut, la gamine eut un grand sourire et tendit ses petites mains pour être prise. Sous le charme, le sieur de Ricordi s’empressa de contourner le ponceau pour aller chercher la petite trouvaille. L’enfant semblait seule et abandonnée. Elle devait avoir deux ans et pourtant son langage n’était pas développé. Ses membres étaient chétifs et elle semblait très faible. Pourtant, ses grands yeux éveillés montraient qu’elle ne souffrait d’aucun retard mental.
Bien décidé, Matteo rapporta la jeune enfant à sa demeure. Lavigna, qui était très croyante, vit là un cadeau du ciel et accepta de l’élever comme sa fille. Les nouveaux parents appelèrent la jeune demoiselle Cassiopea. Au bout de quelque mois, à force de patience et de bonne éducation, l’enfant grandit et prit du poids, devenant plus saine et plus en santé. Son langage se développa et les parents commencèrent à lui donner des cours à la maison. Elle apprit ainsi à lire et à écrire non seulement l’italien, mais également le français et le latin. Elle apprit les bases rudimentaires des mathématiques, mais elle se passionnait tant pour la littérature que ses parents n’insistèrent pas.
À 15 ans, étant devenue une jeune femme accomplie, le couple Ricordi commença à parler de mariage ce que Cassiopea refusa catégoriquement. Elle ne voulait pas quitter sa famille qu’elle aimait plus que tout. Ses parents n’insistèrent pas et la laissèrent vivre avec eux. Tout comme son père adoptif, Cassiopea se passionnait pour les créatures de la nuit. Les années de recherche leur avaient appris que non seulement ces créatures existaient, mais qu’elles vivaient parmi eux, subtiles et traitresses. Ils se mirent alors à chercher un moyen de s’en débarrasser et c’est ainsi que Cassiopea commença à faire des expéditions nocturnes chassant démon et vampire. Son objectif premier était bien sur de prouver l’existence de l’origine des contes. Elle ne se doutait pas encore de l’ampleur que pouvaient avoir ces histoires.
Mais le destin est souvent bien fataliste. À 18 ans, sa mère adoptive décéda d’une suite de maladie. Son père en fut totalement terrassé. Son épouse et lui avaient toujours semblé être des âmes sœurs et la voir ainsi partir l’affecta au plus haut point. Il perdit goût à la vie et abandonna ses recherches. Il ne survécut pas très longtemps à la perte de sa femme et un an plus tard il trépassa également. Les médecins en conclurent, que c’était son cœur qui avait cessé de battre, mais Cassiopea savait, qu’il était tout simplement mort de chagrin. Désormais seule et héritière de tout le domaine, la jeune femme reprit la librairie de sa mère et continua à chasser les créatures des ténèbres. Les journées passaient et se ressemblaient sans qu’il n’y ait rien de différent. Malgré cela, Cassiopea commençait à se rendre compte de la complexité des créatures de la nuit. Non seulement ils n’étaient pas uniquement des créatures sanguinaires, mais ils avaient une certaine organisation sociale. Ce qui dérangeait le plus la jeune vénitienne était l’apparence humaine qu’ils avaient.
Sa vie prit un tournant majeur peu de temps après que la jeune Cassiopea eu 20 ans. C’était un soir de mascarade comme il y en avait plusieurs à cette époque de joie et de festivité. Tout le monde avait le cœur à la fête. Alors qu’elle revenait de la bibliothèque des Doges, un gémissement sortit brusquement la jeune Ricordi de ses pensées. Croyant avoir affaire à un lycan, la jeune femme sortit la petite dague en argent qu’elle avait toujours sur elle avant de recommencer à marcher. Néanmoins, le gémissement reprit de nouveau. S’approchant d’une ruelle à petits pas, Cassiopea fini par apercevoir l’origine du bruit. Une jeune femme était étendue sur le dos, sa robe blanche était déchirée et souillée à plusieurs endroits par le sang qui s’était échappée de sa belle gorge. Son masque vénitien était tombé et reposait sur le sol, brisé. La jeune femme murmura quelque chose que Cassiopea ne comprit pas. Néanmoins, elle sentit que le danger était encore bien présent. Tandis qu’elle se retournait pour fuir, elle se retrouva nez à nez avec un fort bel homme masqué également. Le seul souvenir qu’elle garda de cette rencontre fut un rire, doux comme un murmure, puis ce fut le néant et la douleur...
La jeune femme se réveilla deux jours plus tard dans un endroit inconnu. Elle était dans un état lamentable. Tout d’abord, avant même d’ouvrir les yeux, elle sut que quelque chose n’allait pas. Sa peau lui faisait mal comme si elle était couchée sur des épines. Tout lui semblait trop bruyant, il n’y avait plus aucun silence. Elle entendait les femmes de chambre parlées comme si elle se tenait près de son oreille alors qu’elles se trouvaient dans un pavillon éloignées. Et puis sa gorge lui brulait, non pas une simple petite brulure, mais bien comme si son sang était de la lave. Elle aurait voulu crier, mais elle était incapable de desserrer les dents. Finalement, elle ouvrit les yeux et cette fois un gémissement parvient à lui sortir de ses lèvres entrouvertes. En l’espace d’une seconde, elle avait eu l’impression que trop d’information s’était acheminée à son cerveau. Elle avait pu noter la poussière sur les poutres du plafond, l’éclat doré des ornements de sa commode elle pouvait voir tous ces détails qui étaient invisibles à l’œil humain en temps normal. Décidée à vider la question, Cassiopea se leva, mais ses mouvements furent plus rapides que sa pensée et elle chuta lourdement sur le sol. Une fois relevée, elle croisa son reflet dans la glace et elle sut ce qu’elle était devenue.
Après ce réveil, la jeune femme sombra dans une sorte de dépression. Pourtant il lui fallait bien admettre sa condition. Elle resta seule, prisonnière de son esprit et de ce corps qu’elle ne reconnaissait plus pendant deux jours. Livrée à elle-même, elle maudissait sa condition et ce qu’elle était devenue. Ce qui l’accaparait le plus était la soif. Quelque chose brulait dans sa gorge et elle devait absolument assouvir cette pulsion. Le deuxième jour, à la tombée de la nuit, Cassia rencontra son créateur. Avant que son créateur ne vienne la voir. Instinctivement, avant même qu’il n’entre dans la chambre qu’on lui avait allouée, la jeune femme se recula jusqu’au mur. Il y avait quelque chose dans l’aura du vampire qui lui dictait de tenir ses distances. Tout en la personne de son créateur respirait force et puissance. Malgré son sourire, la jeune demoiselle ne pouvait s’empêcher de frissonner. Elle savait que peu importe ce qu’il lui dirait, il lui faudrait obéir sans hésitation. Elle avait en mémoire des souvenirs qui n’était pas les siens et elle comprit qu’il la tuerait sans ménagement au moindre refus.
Son créateur se contenta de lui faire la conversation. Lui expliquant en détail ce qu’elle était devenue. Plus il parlait, plus une colère sourde se mit à bouillonner à l’intérieur de Cassiopea. Et plus elle laissait sa colère grandir, plus les objets qui se trouvaient près d’elles se mettaient à voler. Cette intervention magique sembla amuser grandement son créateur et, comme s’il avait pu lire dans ses pensées, il lui expliqua calmement qu’elle n’avait pas le choix de suivre sa nature. Puis, sans qu’il n’effectue le moindre geste, tous les objets retournèrent à leurs places dans un silence incroyable. Par la suite, son créateur l’invita à sortir avec lui, il voulait lui montré quelque chose... Obéissante, Cassiopea le suivit jusque dans les rues de Venise où il marchait d’un pas silencieux et agile. Malgré une apparence de désinvolture, la jeune femme voyait qu’il cherchait quelque chose. Au détour d’une ruelle, ils tombèrent sur un beau jeune homme. Dans la vingtaine, il avait la prestance et l’arrogance des classes sociales riches. En quelques secondes, son créateur le charma, l’invitant à s’approcher deux. Cassia elle se figea sur place. Non seulement elle entendait le cœur du jeune homme battre à ses oreilles. Mais de plus, sa simple présence réveillait de nouveau la soif irascible de la jeune femme. Et c’étais ce que son créateur voulait. Lui présentant sa proie d’un air attendue, il lui expliqua où elle devait mordre et jusque où elle devait boire. Incapable de songer à enlever une vie, Cassia secoua doucement la tête avant de reculer de quelque pas. Son refus sembla fâcher voir même gêner son créateur qui fini néanmoins par étirer ses lèvres fines pour former un sourire sinistre. Appuyant son doigt contre la gorge du jeune homme, il traça un petit sillon qui se colora de pourpre. La jeune femme eu un sursaut lorsqu’elle vit le sang et qu’elle sentit l’odeur. Elle demeura un instant figée s’obligeant à ne pas respirer. Son créateur n’appréciait toujours pas son comportement. Mollement, il relâcha sa force sur sa proie et la laissa partir. Tandis que le jeune homme titubait pour se sauver, Cassia observa les gouttes de sang qu’il laissait derrière lui. Puis, sans qu’elle ne puisse s’en empêcher, la jeune femme rattrapa sa proie, plongeant ses canines sauvagement dans la gorge tendre et offerte avant de s’abreuver du nectar de vie rouge. Sa soif semblait intarissable et elle aurait pu continuer ainsi si son créateur ne l’avait pas obliger à s’arrêter. On ne buvait pas le sang des morts.
Le même scénario se reproduit à chaque semaine pendant une année. À chaque fois, Cassiopea était incapable de chasser sa proie elle-même. L’idée même de tuer l’effrayait. Elle détestait sa condition et vivre ainsi la démoralisait au plus haut point. Au bout d’une année, elle fut confiée à un tuteur. Un vampire déléguer par son créateur qui devait se chargée de son éducation et l’aider à maitrisée ses pouvoirs. Déménager un peu plus loin du palais des doges, la jeune femme poursuivit son éducation, en apprenant un peu plus sur les lycans et les différentes règles du clan. Si sa curiosité en faisait une élève modèle lorsqu’il s’agissait de la création et des races, Cassia était intraitable sur l’utilisation de ses pouvoirs. Elle refusait tout bonnement d’apprendre à les maitrisées. Les considérants comme une preuve de sa non-humanité. De moins en moins à l’aise avec son tuteur, la jeune femme prit l’habitude de se sauvé dès la nuit tombée parcourant Venise et ses ruelles plutôt que de continuer d’apprendre. Ses vieux vêtements pratiques de nouveau avec elle, elle pouvait explorer Venise à sa guise en se dépêchant de revenir bien avant le levé du soleil. Croyant ses sortit réussis et subtiles, la jeune demoiselle ignorait que chacun de ses mouvements étaient suivis et rapporter par son tuteur à son créateur. Le soupçon de liberté qu’elle croyait avoir n’était en faite rien.
À part son tuteur et quelques mortelles, la jeune femme ne rencontrait ni de ses semblables, ni de créatures d’autre clan lors de ses sortis nocturnes. Néanmoins, il était temps que cela changent... |
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Livio VolturriEn attente d'un titre...
Caractéristiques Puissance: (1900/2000) Relations: Pouvoirs:
| posté le Jeu 27 Oct 2011, 21:42 | |
| Bienvenue à toi Infante de mon frère, que les nuits de Venise t'apportent enfin la sérénité. Si tu ne veux point sombrer dans l'oubli pense à rédiger ton Livre de la Nuit et à créer ton Recueil de Clarté. Tu peux aussi envoyer par Mp aux modératrices, une courte phrase définissant ton personnage pour le voir paraître dans ce sujet.[/justify] |
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