Lustia Von SchelleEn attente d'un titre...
Caractéristiques Puissance: (750/2000) Relations: Pouvoirs:
| posté le Ven 31 Juil 2009, 23:19 | |
| Nom : Von Schelle Prénom : Lustia Âge : 623 ansClasse : Démone ( Succube)Pouvoir(s) : télépathie (cela lui sert aussi à découvrir les désirs profonds et à s'introduire dans les rêves pour voler votre âme en réalisant vos fantasmes. Marche sur les humains seulement.) avec bien sûr la force des démons. Note superficielle : l'iris de ses yeux prend une couleur violacé chatoyant lorsqu'elle utilise ses pouvoirs. Mais comment pourriez vous le savoir... hi hi hi.Codes : Ok (Leana) Caractère :Lustia est une démone qui a déjà laissé de nombreuses années derrière elle, ainsi que de nombreuses personnes chères à son coeur. Elle a dépassé le stade où les Eternels se glorifient de leur immortalité, se prenant pour les plus puissants êtres du monde. Ces années de solitude lui ont enlevé le goût des âmes, ne se nourrissant que lorsque c'est nécessaire, ou pour une raison bien précise. Elle n'a toutefois pas renier son penchant pour la luxure et le désir, ne retenant pas son appétit charnel dans la réalitée. Ne vous fiez pas à son visage ou à son tempérament, car elle est, comment dire... changeante. Elle peut se montrer douce, voir soumise dans certaines occasions, ou au contraire dur et froide, son instinct de dominatrice prenant le dessus. Si jamais vous l'apercevez isolé, vous la verrez alors prendre un air mélancolique qu'elle ne réserve qu'à son reflêt. Toutefois, après autant d'années, un nouveau sentiment est progressivement apparue en elle, quelque chose qu'elle n'a compris que lors de sa dernière réincarnation dans un corps féminin. Celui d'être mère, de donner la vie. Ce qui fait que tout enfant ou adulte un peu enfantin et mignon qui passe devant elle l'a rend toute caline et douce, un vrai sucre d'orge... Elle aura d'ailleur une extrême envie de le serrer dans ses bras, qu'importe l'avis de la peluche improvisée. Voilà en gros à quoi ressemble notre chère succube. Bonne chance à qui veut l'adopter... ou l'aimer.Physique (7 lignes minimum) :Franchement, que dire du physique d'une succube, être de désir et de fantasme. Vous dire tout simplement qu'elle est sublime ne suffirait peut être pas... enfin pour des mortels. Sinon, laissez moi vous la décrire, l'humaine qu'elle possède bien sur. Elle est pas très grande, 1 mètre 70, mais pas petite non plus. Taille fine mais musclée, peau blanche comme l'albâtre, membres grâcieux aux mouvements fluides, visage d'ange aux yeux noirs, et chevelure noire de jais qui vire au châtin clair lorsqu'elle est troublée. Bon moyen de savoir si vos mots l'ont touché ou pas. Voilà ce que je pourrais dire d'elle. Et aussi qu'elle porte presque quotidiennement un ensemble noir assez sexy sans être vulgaire non plus, soulignant ses formes aguichantes et harmonieuses. Petit truc à elle, c'est le ruban rouge carmin attaché à son bras gauche. Ne me demandez pas la signification, seule sa porteuse le sait. Elle porte aussi des gants en cuir noir, car le seul moyen qu'elle a pour se defendre sont ses poings.Histoire (14 lignes minimum) :Bienvenue à la demeure des Von Schelle. Que puis-je pour vous?... Moi? Qui suis-je? je suis le majordome de la famille Von Schelle. et à qui ais-je l'honneur?... Des renseignement? Je vous écoute... Mademoiselle Lustia? Que voudriez vous savoir?... Son enfance? Sa vie? Bien sûr que je la connais! J'étais la quand elle avait aspiré sa première âme... Que je vous raconte? Hum... Pourquoi pas. Prenez place dans ce fauteuil, je vous prie. Je vais vous conter la vie de mademoiselle Lustia Von Schelle, l'histoire d'une Succube. Mais comprenez... Une existence longue de plus de six siècles ne se raconte pas en quelques secondes. J'essayerai toutefois de la raccourcir pour vous.
Mademoiselle Lustia est l'enfant de Madame Isabelle Vadric et de feu le seigneur Alerrandro Von Schelle. Sa mère était une anglaise d'un vingtaine d'année et son père un charmant Incube approchant du millénaire. Isabelle était une fille très belle de famille aisée tandis que le seigneur Alerrandro s'était incarné en la personne du fils de l'ambassadeur Vénisien résidant en Angleterre. Leur histoire est assez banale en elle-même, sauf qu'elle choqua assez leur famille respective, étant très traditionnelle à l'époque. C'était durant une soirée, un bal, qu'ils s'étaient rencontrés, tombant sous le charme l'un de l'autre. Chose classique vous me direz, quoique étonnante pour un Démon de la Luxure. C'est pour affirmer leur amour qu'ils se marièrent en cachette, mettant leur famille devant le fait accomplit. Même si feu le seigneur Alerrandro était alors le chef de la famille, cela secoua ses frères et soeurs démoniaques de la voir se lier ainsi avec une humaine. Ils vécurent ainsi, la jeune femme ayant emménégée chez son époux, dans une maison non loin de Londre. Mademoiselle Lustia naquit du néant précisément à ce moment et fut adoptée par le seigneur Alerrandro. Madame Isabelle, mise dans le secret des origines de son époux peu après leur rencontre, acceuilla l'enfant comme sa fille quand son époux lui ramena cette dernière dans le corps d'une humaine de deux ans.
La petite démone, considérée comme le fruit de leur amour, reçue à ce moment le nom de Lustia. Elle fût le trésor de ses parents, grandissant sous leurs yeux passionés et captivés. Lustia avait grandi ainsi, entourée chaque jour par l'affection de ses parents, jusqu'à l'âge de treize ans, date de ses premiers saignements, signes de son passage à l'âge adulte dans la famille. Elle était devenue une demoiselle de toute beauté qui fesait la fierté de sa mère et de son père, rieuse et joyeuse, mais aussi sage et intelligente. Pourtant, son père dût repartir pour le Venise avec son grand père l'ambassadeur, humain ignorant tout de leur secret, la laissant seul avec sa mère et moi, mais leur promettant de revenir le plus vite possible. Mais jamais il ne réapparut.
Lustia continua à grandir sous la férule de sa mère. Elle lui apprit la courtoisie, la bienséance, la politesse et les manières. Elle dût s'initier aussi aux différentes danses de salon, savoir discuter d'art et de politique, sans pour autant être verser dans le domaine. Elle suivit des cours de littérature et de poésie. Sans le savoir, sa mère en avait fait une jeune femme désirée et convoitée par tous les hommes qu'elle rencontrait, une personne capable de séduire la gente masculine, ou même féminine, avec une facilité qui me déconcertait parfois. Son physique se développant, ses deux héritages anglais et vénisien se mélangèrent avec harmonie, fesant une métis des plus séduisantes. Elle avait dix-neuf ans quand tout changea.
Sa mère reçu un matin une lettre, et cette mystérieuse lettre enclencha son destin, car elle s'était pour l'instant tenue en dehors des chemins de sa nature profonde. Cette missive annonçait la mort de son père qui avait eut lieu deux ans plutôt à Venise. Cette nouvelle brisa sa mère, qui avait gardé jusque là espoir. Elle changea, et elle avec. Elle devint effacée et mélancolique, ne sortant qu'occasionellement de chez elle. Sa famille ne la soutint pas, ayant toujours critiqué son mariage. Elle n'eut plus que sa fille, qui dû abandonner ses études de littérature, s'occupant de sa mère avec moi. Malgré tous nos efforts, madame Isabelle mourrut de chagrin quelque mois plus tard de la main de sa fille, mais pas dans le sens où vous pourriez l'interpréter. Les trois jours précédents sa disparition, elle avait retrouvé un semblant de joie de vivre, lui souriant comme elle ne l'avait pas fait depuis longtemps. Pourtant le soir du troisième jour, alors qu'elle dormait, Lustia s'introduit dans ses rêves, sans vraiment réfléchir à ce qu'elle fesait. Elle avait alors manipulé les rêves de sa mère, lui fesant voir son père et elle dans leur maison, comme aux jours heureux. Puis elle aspira son âme, sa première âme, pour qu'elle parte remplie de joie et de lumière. Cependant, pour mademoiselle Lustia, tout l'espoir qu'elle s'était forgée s'écroula en un instant, le plongeant dans le désespoir. Cette nuit, elle erra perdu dans ses pensées sous une pluie battante, tribuchant et s'étalant, puis se relevant comme si de rien était. Je la suivait de loin, telle une ombre. Elle marcha ainsi pendant deux heures, en pleine campagne. Elle était complètement trempée, mais continuait à avancer. Que pouvait-elle faire d'autre. Elle avait perdu la personne qui était tout pour elle. Elle glissa sur une flaque de boue, s'écrassant encore une fois de manière misérable sur le sol, semblable à une loque. Pourtant elle commença à se relever doucement, l'esprit toujours ailleurs. Mais elle se sentit faiblir une nouvelle fois, jusqu'à qu'une main l'enlace avant que je puisse arriver jusqu'à elle. La personne qui venait de la soutenir l'aida à se redresser et la soutint du mieux qu'elle pût. Epuisée, elle posa sa tête contre l'être qui la soutenait toujours, puis une odeur vint attirer son attention. C'était une parfum de printemps, une senteur de roses. Elle fit un effort, emmergeant peu à peu des brumes qui obscurcissait son esprit. MAdemoiselle Lustia se rétablie, essayant de voir la personne qui se cachait sous la capuche de la cape qui l'enveloppait. Des mèches rousses dépassait de l'ombre, ressemblant à des langues de feu sous la lumière de la pleine lune. Une femme. Et quelle femme. Lorsqu'elle abaissa son capuchon, elle se figea devant tant de beauté. C'était Angélina Von Schelle, soeur du seigneur Alerrandro, mais cela, seul moi le savait.
Elle vécut alors avec Angélina, la succube qui l'avait recueilli et allait la transformer en ce qu'elle était vraiment. Elle lui apprit tout ce qu'elle savait sur leur race, leur pulsion et leur pouvoir. Lustia passa donc les années qui suivirent avec sa nouvelle "mère", changeant de corps dès que les effets du temps se faisaient trop apparents. Elle lui enseigna toutes les ficelles du "métier", l'art sublime et subtil de la drague, si on pourrait dire. La capacité à réveiller chez n'importe quel humain ses désirs les plus refoulés, à les emmener vers les chemins du vice, vers les plaisirs de la chair, qu'ils soient célibataires, en couple ou mariés. Alors qu'au début ses pulsions de succube l'obligeait à se nourir fréquement, elle appris à y résister ou à les oublier. Elles vécurent ensemble, et ce pendant presque six cents ans, en Angleterre. Je resta moi aussi avec Mademoiselle, car c'était là ma voie. Elles virent défiler devant leur yeux l'Histoire, qui attira l'attention de notre succube. Elle se plongea dans les livres, source quasi-intarissable de savoir. Elle exerça alors des métiers de bibliothécaire, de romancière et, même si ça n'avait pas de rapport, de call-girl. C'était une bonne manière de devenir une experte dans son domaine, n'est-il pas?
Puis vint nos jours, et mademoiselle Lustia décida de partir pour Venise, ville dont son père lui avait tellement parlé. Aussi changea-t-elle une nouvelle fois de corps, prenant celui d'une jeune femme de dix-neuf ans à l'aura sombre mais captivante. Voilà où s'arrête mon histoire. Si vous désirez plus de renseigement, je vous conseille de vous adresser à la personne concernée. Sur ce... Je vous souhaite une bonne soirée. ~*~*~ Autre(s) : Elle envisage d'ouvrir un magasin coquin, mais n'a pas encore trouvé d'emplacement... voilà.Comment avez-vous connu le forum : par Terrine...hi hi hi ^^
Dernière édition par Lustia Von Schelle le Mer 19 Aoû 2009, 19:44, édité 1 fois |
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Arabella di FuorineEn attente d'un titre...
Caractéristiques Puissance: (290/2000) Relations: Pouvoirs:
| posté le Mar 25 Aoû 2009, 16:54 | |
| Bienvenuuuueee ^^
Dis papa, la démonne elle a pas l'air méchante, je peux lui faire un calin?
* tite Ara qui s'approche de Lustia en tendant les bras, tout sourire * |
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